"...until the sea shall free them..." (2009)papier maché, acrylique, collage
61 x 76 cm
Évalué à 2750,00$ CA
Numéro de reference: PH0903BL01
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Réponse pendant plus de 20 années à la crise de VIH/SIDA
L'espace d'exposition pour le project Espoir
Cabaret reconstitué d'art déco et endroit pour l'enchère d'art
English version - Project Hope
Note pour les acheteurs:
Le prix offert pour chaque œuvre correspond à 50% de sa valeur inscrite.
Qu'est-ce que le projet Espoir?
- Elliott
- Montreal, Quebec, Canada
- My name is Christian Elliott and I have been cleaning and managing households for over 10 years. Oddly enough, I actually enjoy cleaning and can usually enter a home and know exactly what needs to be done to take it from chaos to impeccable in no time.
Sida bénévoles Montréal
Réponse pendant plus de 20 années à la crise de VIH/SIDA
Galerie Dentaire
L'espace d'exposition pour le project Espoir
Lion d'Or
Cabaret reconstitué d'art déco et endroit pour l'enchère d'art
Commanditaires d'argent
Commanditaires de bronze
Actrice et président global de collecte de fonds pour l'amfAR, Sharon Stone
Quelques mots d’appui de l’actrice Sharon Stone
Aux nombreux organisateurs, commanditaires et participants du Projet ESPOIR :
D’abord, je ne suis pas étrangère à l’espoir.
En fait, l’idée de venir en aide à d’autres, qui peuvent se trouver dans des situations qui dépassent souvent leur contrôle ou qui ont soudainement découvert que leur vie est parsemée de défis nouveaux et ardus, a été l’élan pour créer la fondation que j’ai fondée avec ma sœur, Kelly, en 1992.
Planet Hope a depuis ce temps aidé des milliers de familles de par le monde, parfois à grande échelle et parfois par de plus petits gestes qui, pour beaucoup, font toute la différence du monde. C’est l’aspect le plus merveilleux de l’espoir : il ne fait pas que réaliser un souhait ou un désir, mais nous met en lien avec cette partie de notre âme et de notre créativité qui inspire, encourage et nous élève.
Lorsque nous voyageons sur la route de la vie et que le voyage semble paisible, sans obstacle et rempli de merveilles, nous avons tendance à oublier que notre chemin peut changer à tout moment et nous mener vers des terrains inconnus.
L’espoir est parfois le repère qui nous mène vers l’avant. Nous ne sommes pas toujours avertis que nous allons rencontrer des obstacles, de la résistance ou, pire encore, de la complaisance. L’espoir, tel qu’il est, ne nie pas la réalité ni la puissance de ces embûches : il reconnaît leur existence et insuffle en nous l’inspiration, le courage et la force morale pour poursuivre et vaincre.
En soi, l’espoir n’offre pas de solution, mais il nous offre une ressource. Ce que nous découvrons en traversant ces sentiers dangereux (qui ne sont décrits comme tels que parce qu’ils ont tant été utilisés par ceux qui ont voyagé, œuvré et fait des sacrifices avant nous) est étrange. On peut facilement ne pas tenir compte de ces chemins, car de nouveaux passages, plus tentants, existent. En prenant le chemin le plus emprunté, toutefois, on découvre souvent le savoir, le point de vue et les expériences partagées de nos compagnons voyageurs, qui se dévouent pour nous tendre la main et nous guider en toute sécurité.
Si ce n’était de ceux qui s’engagent de tout cœur, infatigablement et de façon altruiste pour notre bien-être, certains parmi nous ne se sentiraient pas l’énergie de poursuivre vers l’avant et baisseraient les bras en admettant leur défaite.
Tout cela pour dire que quand Chris Elliott (organisateur du Projet ESPOIR) m’a demandé de prêter ma voix pour accroître la sensibilisation au VIH-sida et pour attirer l’attention vers ce projet, j’ai immédiatement compris ce que l’organisation tentait d’accomplir.
Les organisations de services liées au VIH-sida réagissent à la crise du VIH-sida depuis près de trois décennies, et savent parfaitement que leur travail n’est pas terminé. J’applaudis leurs efforts passés, présents et futurs pour une cause qui m’est très chère et qui me touche. J’encourage tous les autres à participer, à rendre hommage aux organisations de services liées au VIH-sida qui poursuivent la lutte contre le VIH-sida et combattent pour obtenir un financement fiable et continu de par le monde.
Ces organisations font preuve d’initiative et de responsabilité, et posent des gestes, tant pour le VIH-sida que pour elles-mêmes. En organisant des événements comme le Projet ESPOIR pour promouvoir l’éducation et la prévention de la transmission du VIH, intégrer et bâtir diverses communautés, partager le savoir et la bonne volonté, les organisations de services liées au VIH-sida définissent véritablement l’espoir.
Je souhaite aux nombreux bénévoles et participants du Projet ESPOIR une longue vie, une bonne santé et la prospérité.
J’adhère entièrement à votre travail exceptionnel dans le domaine du VIH-sida et à votre lutte pour atteindre et préserver votre indépendance tout en demeurant des participants actifs de la communauté mondiale du VIH-sida.
Je remercie les donateurs et les commanditaires du Projet ESPOIR : votre participation est un reflet juste du cœur et de l’esprit de la générosité.
Enfin, aux nombreux artistes, galeristes et amoureux des arts qui participent au Projet ESPOIR, je veux transmettre mon admiration pour vos efforts, et reconnaître que vos contributions, tant artistiques qu’humanitaires, ne font pas qu’attirer l’attention sur une cause importante, mais apportent aussi à notre monde une forme spéciale de beauté.
Bonne chance à tous : je vous souhaite bien du succès dans cette excellente aventure.
Sharon Stone
D’abord, je ne suis pas étrangère à l’espoir.
En fait, l’idée de venir en aide à d’autres, qui peuvent se trouver dans des situations qui dépassent souvent leur contrôle ou qui ont soudainement découvert que leur vie est parsemée de défis nouveaux et ardus, a été l’élan pour créer la fondation que j’ai fondée avec ma sœur, Kelly, en 1992.
Planet Hope a depuis ce temps aidé des milliers de familles de par le monde, parfois à grande échelle et parfois par de plus petits gestes qui, pour beaucoup, font toute la différence du monde. C’est l’aspect le plus merveilleux de l’espoir : il ne fait pas que réaliser un souhait ou un désir, mais nous met en lien avec cette partie de notre âme et de notre créativité qui inspire, encourage et nous élève.
Lorsque nous voyageons sur la route de la vie et que le voyage semble paisible, sans obstacle et rempli de merveilles, nous avons tendance à oublier que notre chemin peut changer à tout moment et nous mener vers des terrains inconnus.
L’espoir est parfois le repère qui nous mène vers l’avant. Nous ne sommes pas toujours avertis que nous allons rencontrer des obstacles, de la résistance ou, pire encore, de la complaisance. L’espoir, tel qu’il est, ne nie pas la réalité ni la puissance de ces embûches : il reconnaît leur existence et insuffle en nous l’inspiration, le courage et la force morale pour poursuivre et vaincre.
En soi, l’espoir n’offre pas de solution, mais il nous offre une ressource. Ce que nous découvrons en traversant ces sentiers dangereux (qui ne sont décrits comme tels que parce qu’ils ont tant été utilisés par ceux qui ont voyagé, œuvré et fait des sacrifices avant nous) est étrange. On peut facilement ne pas tenir compte de ces chemins, car de nouveaux passages, plus tentants, existent. En prenant le chemin le plus emprunté, toutefois, on découvre souvent le savoir, le point de vue et les expériences partagées de nos compagnons voyageurs, qui se dévouent pour nous tendre la main et nous guider en toute sécurité.
Si ce n’était de ceux qui s’engagent de tout cœur, infatigablement et de façon altruiste pour notre bien-être, certains parmi nous ne se sentiraient pas l’énergie de poursuivre vers l’avant et baisseraient les bras en admettant leur défaite.
Tout cela pour dire que quand Chris Elliott (organisateur du Projet ESPOIR) m’a demandé de prêter ma voix pour accroître la sensibilisation au VIH-sida et pour attirer l’attention vers ce projet, j’ai immédiatement compris ce que l’organisation tentait d’accomplir.
Les organisations de services liées au VIH-sida réagissent à la crise du VIH-sida depuis près de trois décennies, et savent parfaitement que leur travail n’est pas terminé. J’applaudis leurs efforts passés, présents et futurs pour une cause qui m’est très chère et qui me touche. J’encourage tous les autres à participer, à rendre hommage aux organisations de services liées au VIH-sida qui poursuivent la lutte contre le VIH-sida et combattent pour obtenir un financement fiable et continu de par le monde.
Ces organisations font preuve d’initiative et de responsabilité, et posent des gestes, tant pour le VIH-sida que pour elles-mêmes. En organisant des événements comme le Projet ESPOIR pour promouvoir l’éducation et la prévention de la transmission du VIH, intégrer et bâtir diverses communautés, partager le savoir et la bonne volonté, les organisations de services liées au VIH-sida définissent véritablement l’espoir.
Je souhaite aux nombreux bénévoles et participants du Projet ESPOIR une longue vie, une bonne santé et la prospérité.
J’adhère entièrement à votre travail exceptionnel dans le domaine du VIH-sida et à votre lutte pour atteindre et préserver votre indépendance tout en demeurant des participants actifs de la communauté mondiale du VIH-sida.
Je remercie les donateurs et les commanditaires du Projet ESPOIR : votre participation est un reflet juste du cœur et de l’esprit de la générosité.
Enfin, aux nombreux artistes, galeristes et amoureux des arts qui participent au Projet ESPOIR, je veux transmettre mon admiration pour vos efforts, et reconnaître que vos contributions, tant artistiques qu’humanitaires, ne font pas qu’attirer l’attention sur une cause importante, mais apportent aussi à notre monde une forme spéciale de beauté.
Bonne chance à tous : je vous souhaite bien du succès dans cette excellente aventure.
Sharon Stone
Dr. Susan Aglukark
Lettre d'appui de Dre Susan Aglukark, O.C.
Chers lecteurs et partisans,
Je dédie une grande partie de ma vie et de mon travail à définir et à élargir la définition et les vertus d’un petit mot : espoir. C’est un mot si puissant et si irrésistible. Mentionner l’espoir, c’est exprimer un désir optimiste, plein d’attente de son obtention. En même temps, l’espoir nous rappelle trop souvent les tragédies personnelles et publiques, les circonstances terribles et le sentiment indéniable de désespoir qui touchent tant de gens dans ce monde.
Je vous encourage à envisager un monde dans lequel nous sommes nés, éduqués, aimés et protégés par ceux qui nous entourent. Nous y grandissons pour devenir des personnes confiantes, créatives, aimantes, intelligentes, qui se respectent. Nous chérissons nos moments et nos souvenirs. Nous respectons nos ancêtres, notre passé, nos réussites et nos échecs et leur rendons hommage. Nous traitons notre planète, ses hommes et ses femmes avec dignité, et de la façon dont nous aimerions nous-mêmes être traités. Un monde rempli d’amour et d’un sentiment d’espoir infini.
Je vous encourage à acclamer les braves personnes qui dédient leur temps et leurs ressources pour attirer l’attention vers les défis et les difficultés de ceux qui ne profitent pas des avantages d’un tel monde. Au sein de nos communautés, de nos organisations et de nos associations se réunissent ceux qui incarnent véritablement la foi, la charité et la réalisation. Ce sont des gens qui croient qu’il n’est pas irraisonnable de penser qu’un monde où existe le VIH-sida doit aussi comprendre son remède.
Tandis que je constate le rythme effrayant des nouvelles infections au VIH parmi les Inuits, les Métis et les communautés des Premières nations au Canada, sans parler de la portée globale croissante de cette maladie dévastatrice, je deviens de plus en plus convaincue que le travail d’organisations comme Sida Bénévoles Montréal doit se poursuivre.
Je souhaite également un avenir fantastique pour le Projet ESPOIR, ses participants et ses organisateurs, des bénévoles, des artistes et des travailleurs humanitaires qui feront le succès de cet événement important. Je vous encourage à y participer et à élever votre voix pour soutenir ces efforts précieux.
Je crois que les miracles se produisent avec le dévouement, le désir et l’espoir. Pour cette raison, je garde espoir. Je tiens à soutenir et à remercier tous les membres de Sida Bénévoles Montréal et à tous ceux qui contribuent au Projet ESPOIR : leur énergie attise le feu de l’espoir pour de nombreuses personnes.
Qujannamiik,
Dre Susan Aglukark, O.C.
Je dédie une grande partie de ma vie et de mon travail à définir et à élargir la définition et les vertus d’un petit mot : espoir. C’est un mot si puissant et si irrésistible. Mentionner l’espoir, c’est exprimer un désir optimiste, plein d’attente de son obtention. En même temps, l’espoir nous rappelle trop souvent les tragédies personnelles et publiques, les circonstances terribles et le sentiment indéniable de désespoir qui touchent tant de gens dans ce monde.
Je vous encourage à envisager un monde dans lequel nous sommes nés, éduqués, aimés et protégés par ceux qui nous entourent. Nous y grandissons pour devenir des personnes confiantes, créatives, aimantes, intelligentes, qui se respectent. Nous chérissons nos moments et nos souvenirs. Nous respectons nos ancêtres, notre passé, nos réussites et nos échecs et leur rendons hommage. Nous traitons notre planète, ses hommes et ses femmes avec dignité, et de la façon dont nous aimerions nous-mêmes être traités. Un monde rempli d’amour et d’un sentiment d’espoir infini.
Je vous encourage à acclamer les braves personnes qui dédient leur temps et leurs ressources pour attirer l’attention vers les défis et les difficultés de ceux qui ne profitent pas des avantages d’un tel monde. Au sein de nos communautés, de nos organisations et de nos associations se réunissent ceux qui incarnent véritablement la foi, la charité et la réalisation. Ce sont des gens qui croient qu’il n’est pas irraisonnable de penser qu’un monde où existe le VIH-sida doit aussi comprendre son remède.
Tandis que je constate le rythme effrayant des nouvelles infections au VIH parmi les Inuits, les Métis et les communautés des Premières nations au Canada, sans parler de la portée globale croissante de cette maladie dévastatrice, je deviens de plus en plus convaincue que le travail d’organisations comme Sida Bénévoles Montréal doit se poursuivre.
Je souhaite également un avenir fantastique pour le Projet ESPOIR, ses participants et ses organisateurs, des bénévoles, des artistes et des travailleurs humanitaires qui feront le succès de cet événement important. Je vous encourage à y participer et à élever votre voix pour soutenir ces efforts précieux.
Je crois que les miracles se produisent avec le dévouement, le désir et l’espoir. Pour cette raison, je garde espoir. Je tiens à soutenir et à remercier tous les membres de Sida Bénévoles Montréal et à tous ceux qui contribuent au Projet ESPOIR : leur énergie attise le feu de l’espoir pour de nombreuses personnes.
Qujannamiik,
Dre Susan Aglukark, O.C.
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